Complément sur la vaccination : A LIRE ABSOLUEMENT !!!!!
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LeCoinBio : Le Dr Floret affirme que les vaccins en vente aujourd'hui ne contiennent plus de mercure. Est-ce que cette affirmation est véridique ? Si oui, depuis quand ? Contiennent-ils d'autres métaux lourds? Quels sont les effets des métaux lourds sur la santé des enfants et des adultes ?
Dr Choffat : Effectivement le mercure a pratiquement disparu des vaccins de la petite enfance, dans le temps record de 4 ou 5 ans, depuis 2003 probablement.
La raison est qu'on n'aurait pas pu cacher plus longtemps que l'autisme semble réservé aux enfants ayant reçu du mercure par les vaccins.
Les premiers cas d'autisme décrits, dans les années 30, semblent coïncider avec l'introduction des premiers vaccins qui contenaient du mercure.
Pour les autres métaux, il s'agit de l'aluminium, toxique pour le système immunitaire, le système nerveux et les reins.
La quantité totale contenue dans l'ensemble des vaccins des petits est très élevée par rapport aux normes considérées comme toxiques dans le sang.
Un bébé de 2 ans a reçu entre 2 000 µg et 4 220 µg d'aluminium métallique dans son corps.
Un adolescent de 15 ans a reçu au minimum 8 570 µg d'aluminium métallique dans son corps.
Et si on lui propose en plus la vaccination contre l'encéphalite à tique, on arrive à 10'325 µg.
Sachant que le taux normal d'aluminium dans 1 litre de sérum est de 4 µg, soit 0.992 µg pour un nourrisson de 2 mois, ce dernier peut recevoir lors de sa première vaccination jusqu'à 937.5 fois la dose considérée comme normale, pour lui, dans son sérum.
Sachant que le taux maximum admissible d'aluminium dans 1 litre de sérum est de 15 µg, soit 3.72 µg pour un nourrisson de 2 mois, ce dernier peut recevoir lors de sa première vaccination jusqu'à 250 fois la dose considérée comme maximum admissible, pour lui, dans son sérum.
Sachant que, dans le sérum, le taux d'aluminium provoquant une encéphalopathie est de 100 µg par litre, soit 24.8 µg pour un nourrisson de 2 mois, ce dernier peut recevoir lors de sa première vaccination jusqu'à 37.5 fois la dose capable de provoquer chez lui, si elle se trouve dans son sérum, une encéphalopathie.
LeCoinBio : Plus généralement, le Dr Floret affirme que tous les vaccins sont sans danger. Pouvez-vous commentez s'il vous plaît?
Dr Choffat : Il n'aurait pas été nommé à son poste de président du Comité Technique de Vaccination (CTV), s'il avait affirmé le contraire.
Pour un médecin il est très difficile d'obtenir un poste officiel ou privé important s'il n'adhère pas au dogme de l'innocuité des vaccins.
Les fabricants de vaccins ainsi que les médecins associés aux laboratoires et les responsables politiques de la santé, sont unanimes pour nier les effets indésirables des vaccins. (...)
Ils font tout pour étouffer les plaintes des personnes qui prétendent avoir vécu la preuve du contraire. Si la vérité était reconnue du grand public, ce serait un désastre pour ces personnes qui, pour beaucoup d'entre elles ont prôné les vaccination en toute bonne foi.
LeCoinBio : Le Dr Floret affirme qu'il n'y a aucun conflit d'intérêt de la part des compagnies pharmaceutiques car au final, c'est le CTV qui donne son approbation pour la mise en vente d'un vaccin.
Selon lui, le CTV qu'il préside serait le garant de l'éthique concernant l'utilisation des vaccins en France. Je voudrais avoir vos commentaires sur ce sujet.
Dr Choffat : Faux. La liste officielle des membres de ce comité ne mentionne pas leurs conflits d'intérêt.
Les personnes considérées comme "compétentes" sont presque toutes bénéficiaires des compagnies pharmaceutiques.
En général, les laboratoires y sont largement représentés.
Par exemple, la composition de la commission française qui a décidé que le vaccin de l'hépatite B devait être pratiqué chez les nourrissons, sous le titre de "Réunion de consensus sur la vaccination contre l'hépatite B des 10 et 11 septembre 2003" : sur une bonne trentaine de membres, si ma mémoire est exacte, huit seulement n'annonçaient aucune dépendance vis-à-vis des fabricants de vaccins. J'ai recherché le rapport final de cette réunion sur le réseau, mais il me semble désormais introuvable.
LeCoinBio : Savez-vous si le CTV, et plus généralement les pouvoirs publics européens, se basent sur des données fiables et rigoureuses pour accorder leur aval à la commercialisation d'un vaccin ?
Certaines données utilisées par le Dr Floret durant la conférence étaient fournies par le laboratoire Sanofi-Pasteur.
Comment alors peuvent-ils être certains que ces données sont véridiques et non pas influencées par un intérêt purement pécuniaire ?
Dr Choffat : Les recherches sont toutes financées par les laboratoires privés, et orientées vers la preuve de l'efficacité et de l'innocuité des vaccins.
Les résultats de l'étude appartiennent au commanditaire qui ne la publiera pas si elle montre un résultat défavorable.
Les médecins et chercheurs qui la publieraient pourraient être poursuivis pénalement par leur commanditaire.
Et qui financerait des études risquant de prouver les effets secondaires des vaccins ?
J'ai publié un ouvrage portant, entre autres, sur les mécanismes de la recherche médicale et la création artificielle de nouveaux marchés s'adressant aux personnes en bonne santé: hypertension artérielle, hypercholestérolémie, ostéoporose des femmes ménopausées et bien sûr la vaccination. (Hold-Up sur la santé, Ed. Jouvence 2005. Auteur: François Choffat)
LeCoinBio : Le Dr Floret affirme qu'aucune étude scientifique n'a fait de corrélations entre le vaccin contre l'hépatite B et le développement de la maladie de la sclérose en plaques. Il affirme cependant qu'il est impossible d'apporter la preuve scientifique d'une non corrélation. Qu'en pensez-vous? Dans ce cas, ne serait-il pas prudent d'appliquer le principe de précaution?
Dr Choffat: De nombreuses études existent, elle sont réalisées avec de très petits moyens, par des personnes victimes des vaccins, des médecins ouverts, des associations de défense des consommateurs.
Mais elles sont aussitôt démenties par des études sponsorisées par l'industrie pharmaceutique.
Tant que les médecins seront les seuls autorisés à déclarer les effets secondaires des vaccins et qu'il sont persuadés qu'ils n'existent pas, tant que la déclaration des affections survenant après vaccination ne sera pas obligatoire, tant que les instances qui jugent de la valeur de ces déclarations seront aux mains des fabricants de vaccins, tant que la presse médicale et les médias tout-public seront dépendants de leur publicité, on pourra affirmer officiellement, et contre toute évidence, que les vaccins n'ont que des avantages.
LeCoinBio : Suite à une recrudescence des cas de rougeole en France, le Dr Floret affirme que le profil de la maladie a changé, qu'elle affecte maintenant des personnes plus âgées.
Le tiers des 600 cas répertoriés récemment en France ont plus de 15 ans. Et 53% des adultes contaminés ont été hospitalisés.
Cette situation n'est-elle pas justement le résultat de la vaccination ?
Dr choffat: Oui. Avant la vaccination, les mères, bien protégées par la rougeoles qu'elles avaient faite dans leur enfance, transmettaient leur anticorps à leurs nouveaux-nés qui étaient ainsi immunisés jusqu'à l'âge de deux ans.
Comme des épidémies survenaient régulièrement, tous les enfants faisaient la maladie.
L'immunité était assurée à vie parce que, à chaque épidémie, le contact avec le virus assurait aux adultes des rappels naturels.
Avec la disparition de la maladie naturelle, l'immunité vaccinale des adultes n'est plus constante, et donc celle des nouveaux-nés moins assurée.
Or la maladie qui est bénigne dans l'enfance, atteint désormais les tout-petits, et les adultes, qui sont beaucoup plus susceptibles de faire des complications graves.
LeCoinBio : Le Dr Floret affirme que l'on peut contracter le Tétanos en coupant ses rosiers. Est-ce vrai ?
Dr Choffat: L'histoire du rosier est improbable mais pas impossible.
Cependant, vu la rareté certaine du phénomène, elle est pour moi une légende. Comme l'histoire du Petit chaperon rouge, je l'ai entendue dans plusieurs pays, située à diverses époques et dans différentes conditions.
En général, c'est une vieille dame qui en est l'actrice préférée. Mais il faut savoir que l'âge moyen des cas de tétanos dans nos contrés est de 72 ans et que les femmes sont plus touchées que les hommes, parce qu'elles sont plus nombreuses à cet âge-là.